Bonjour à tous,
J’ai acheté cette maquette en fin d’année 2015.
J’avais le choix de la peindre soit aux couleurs été russe (avec le symbole de la Wehrmacht), soit en blanc neige. J’ai choisi la seconde option.
Célèbre char soviétique de la seconde guerre mondiale, je ne voulais pas le voir aux couleurs allemandes !
Construit à plus de 84 000 exemplaires de 1940 à 1958, ce char de combat de taille moyenne se distingue par son glacis incliné, ses chenilles larges lui permettant de se mouvoir sur la boue, et sa facilité d’entretien. Il a été utilisé par 39 pays (sans compter l’URSS) et certains l’utilisent encore de nos jours.
Une célèbre histoire me revient à l’esprit lorsque des chars sortant de chaîne d’assemblage sont allés combattre directement les Panzers situés en périphérie de Stalingrad, ville où été située une des usines produisant ce char.
Assemblage et ponçage
Une fois la boîte ouverte, je ne m’attendais pas à trouver une maquette aussi minuscule.
Le plastique semble de bonne qualité, tout comme les décalques.
La documentation est en anglais et présente à la fin les deux options de peinture.
En suivant les instructions, je n’ai eu aucun mal à assembler le char.
En deux heures, je suis arrivé jusqu’aux dernières étapes du ponçage et de la peinture.
J’ai décidé de mettre de côté les chenilles parce-que je n’ai pas réussi à les faire tenir.
Peinture
Pour la première fois, je me suis exercé à l’aérographe.
Après qu’un collègue, m’ait expliqué comment utiliser cet outil, j’ai fait un essai seul dans mon atelier.
J’ai d’abord retiré la tourelle de la caisse, puis j’ai appliqué deux couches de bombe d’apprêt (avec 24h de pause entre chaque couche).
Le troisième jour, j’ai appliqué ma première couche de blanc neige.
J’ai décidé par la suite d’en mettre une deuxième pour que le blanc soit le plus immaculé possible.
Le résultat m’a paru plutôt bien pour mon premier essai avec l’aérographe :
Pose des décalques
Ma dernière étape a donc consisté à poser les décalques et mettre en place les chenilles.
Conclusion
J’ai eu beaucoup de mal à attacher les deux chenilles. J’ai donc positionné la liaison en haut, pour qu’elle soit bloquée par la caisse, et qu’elle ne se détache pas des roues.
J’ai pris plaisir à utiliser l’aérographe, même si la phase de nettoyage après utilisation fut rébarbative.
En effet, entre mes deux couches de blanc neige, je n’avais pas été assez rigoureux, ce qui m’a obligé à répéter toutes les étapes de nettoyage.
Cette maquette a été rapide à réaliser. Je compte faire une série de char au 1/72, et pourquoi pas les différentes versions de T-34 ?
A mon niveau, je n’ai fait aucun travail de camouflage, de vieillissement ni de vernis. Ces étapes vous serons présentées dès que m’ont les aura enseignées !
Voici le résultat :
A la prochaine
Emmanuel