samedi 11 février 2017

[Trumpeter] Ural 4320, au 35ème par Thomas.



Bonjour à tous, 
Cette semaine c'est du russe, du camion russe. Un Ural 4320.


C'est une bête de somme de l'armée russe, que l'on retrouve aussi dans le civil, les vidéos des "exploits" de cet engin sont surprenantes.

C'est donc la boite Trumpeter qui sera la base de mon travail.

Comme d’habitude avec Trumpeter, en ouvrant la boite, on a en général aucune mauvaise surprise… c’est du sérieux !
On trouve quelques grappes en plastique gris, une grappe de pièces transparentes, de la photodécoupe, des pneus en vinyle et une planche de décals permettant de réaliser 6 versions.
Le montage commence par le châssis… et comme dit ci-dessus aucune mauvaise surprise ! 

Je crains toujours avec ce type de véhicule que le châssis soit vrillé et que toutes les roues ne touchent pas le sol…


Détail du moteur





La transmission 6x6 de l'engin




J’ai ensuite assemblé la cabine, dont j’ai préalablement peint l’intérieur. 
On peut, contrairement à ce que préconise la notice, la monter entièrement avant de la coller sur le châssis et jouer sur la flexibilité du plastique (en restant raisonnable !) pour la mettre en place à la fin !  
La benne est enfin montée. On a le choix de coller les bancs relevés ou baissés, ce que j’ai pour ma part choisi.


Nos trois sous-ensembles montés, on peut attaquer la peinture… Ce sera du noir XF1 Tamiya pour le châssis, du vert H303 Gunze pour la benne et, désirant faire un véhicule militaire reclassé, du field blue UA404 Lifecolor pour la cabine.

Le vieillissement à consister en l’application de plusieurs types de jus et des pigments
Sur le châssis… du gris clair partout, une teinte sable sur les détails et dans tous les recoins, et une pointe de rouille par ci par là… 


Pour la benne, j’ai repris toutes les arêtes en noir et l’intérieur avec un pinceau fin et à l’éponge pour simuler l’usure, avant d’appliquer des jus terre claire et foncée de manière aléatoire, puis des pigments tirés avec un large pinceau plat. 


J’ai voulu m’amuser un peu avec la cabine en simulant un véhicule militaire repeint en bleu. Pour cela, j’ai peint tout en bleu, puis j’ai copieusement vieilli l’ensemble avec du vert à l’éponge, puis les arêtes au pinceau fin avec du noir. Pour le fun, j’ai repeint la portière conducteur en vert puis posé un décalque russe, évoquant le remplacement de celle-ci.
Pour terminer, j’ai collé la benne et la cabine sur le châssis, puis harmonisé le vieillissement avec des pigments de la même couleur.




 








Les roues ont été également empoussiérées et la bande de roulement reprise au pigment noir, avant d’être collées en place.







En conclusion, je me suis vraiment amusé à construire ce camion !
Thomas

samedi 4 février 2017

[Trumpeter] T-34/76 au 1/72 par Emmanuel



Bonjour à tous,

J’ai acheté cette maquette en fin d’année 2015.


J’avais le choix de la peindre soit aux couleurs été russe (avec le symbole de la Wehrmacht), soit en blanc neige. J’ai choisi la seconde option.
Célèbre char soviétique de la seconde guerre mondiale, je ne voulais pas le voir aux couleurs allemandes !
Construit à plus de 84 000 exemplaires de 1940 à 1958, ce char de combat de taille moyenne se distingue par son glacis incliné, ses chenilles larges lui permettant de se mouvoir sur la boue, et sa facilité d’entretien. Il a été utilisé par 39 pays (sans compter l’URSS) et certains l’utilisent encore de nos jours.
Une célèbre histoire me revient à l’esprit lorsque des chars sortant de chaîne d’assemblage sont allés combattre directement les Panzers situés en périphérie de Stalingrad, ville où été située une des usines produisant ce char.




Assemblage et ponçage

Une fois la boîte ouverte, je ne m’attendais pas à trouver une maquette aussi minuscule.
Le plastique semble de bonne qualité, tout comme les décalques.
La documentation est en anglais et présente à la fin les deux options de peinture.
 En suivant les instructions, je n’ai eu aucun mal à assembler le char.
En deux heures, je suis arrivé jusqu’aux dernières étapes du ponçage et de la peinture.
J’ai décidé de mettre de côté les chenilles parce-que je n’ai pas réussi à les faire tenir.

Peinture

Pour la première fois, je me suis exercé à l’aérographe. 
Après qu’un collègue, m’ait expliqué comment utiliser cet outil, j’ai fait un essai seul dans mon atelier.


J’ai d’abord retiré la tourelle de la caisse, puis j’ai appliqué deux couches de bombe d’apprêt (avec 24h de pause entre chaque couche).
Le troisième jour, j’ai appliqué ma première couche de blanc neige.
J’ai décidé par la suite d’en mettre une deuxième pour que le blanc soit le plus immaculé possible.
Le résultat m’a paru plutôt bien pour mon premier essai avec l’aérographe :

Pose des décalques

Ma dernière étape a donc consisté à poser les décalques et mettre en place les chenilles.

Conclusion

J’ai eu beaucoup de mal à attacher les deux chenilles. J’ai donc positionné la liaison en haut, pour qu’elle soit bloquée par la caisse, et qu’elle ne se détache pas des roues.
J’ai pris plaisir à utiliser l’aérographe, même si la phase de nettoyage après utilisation fut rébarbative. 
En effet, entre mes deux couches de blanc neige, je n’avais pas été assez rigoureux, ce qui m’a obligé à répéter toutes les étapes de nettoyage.
Cette maquette a été rapide à réaliser. Je compte faire une série de char au 1/72, et pourquoi pas les différentes versions de T-34 ?
A mon niveau, je n’ai fait aucun travail de camouflage, de vieillissement ni de vernis. Ces étapes vous serons présentées dès que m’ont les aura enseignées !

Voici le résultat :



A la prochaine

Emmanuel

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